CV

Lydia Dimitrow a étudié la littérature comparée à l’Université Libre de Berlin (Freie Universität Berlin). Elle y obtient son bachelor en 2012 et fait un échange d’une année à l’Université de Lausanne où elle découvre le Centre de traduction littéraire (le CTL).

 

Depuis elle traduit du français en allemand parallèlement à ses études de master (qu'elle obtient en 2017). En 2012, elle est sélectionnée pour le programme d’encouragement de Pro Helvetia «Young-Translators-Partnership-Program» dans le cadre duquel elle traduit son premier roman (Isabelle Flükiger : Bestseller, Rotpunktverlag). En 2014 elle est sélectionnée pour le Hieronymus-Programm (Robert Bosch Stiftung et Deutscher Übersetzerfonds) et en 2015 pour le Programme Georges Arthur Goldschmidt pour jeunes traducteurs littéraires ainsi que pour l'atelier franco-allemand pour traducteurs de théâtre contemporain dans le cadre de Transfert Théâtral. En 2016 elle reçoit une bourse d'encouragement du Deutscher Übersetzerfonds pour la traduction de Grand nu orange de Nathalie Chaix. Elle traduit des auteur/es comme Aristide Tarnagda, Bruno Pellegrino, Clément Bénech ou Valérie Poirier.

 

Elle fait en outre partie depuis 2008 de la rédaction du journal du festival «Theatertreffen der Jugend» qui a lieu une fois par année lors des Berliner Festspiele. Depuis 2011, elle travaille aussi comme auteure et dramaturge avec Magali Tosato et Franziska Keune (compagnie mikro-kit), notamment pour «La Mission» de Heiner Müler (bat-Studiotheater Berlin, 2013), «I love Italy an Italy loves me» (bat-Studiotheater Berlin, 2014), «Hamlet» d’après William Shakespeare (établissements scolaires des établissements scolaires des cantons de Vaud et Genève, 2015), « Home-Made » (Théâtre de Vidy Lausanne, 2015), "Amour/Luxe"  (Théâtre de Vidy Lausanne, 2017), "Qui a peur d'Hamlet?" (Théâtre Benno Besson, Yverdon-les-Bains, 2018), "Mettlach" (Saarländisches Staatstheater, 2019) et "Wilde wilde Wesen" (Schaubude Berlin 2019). En tant que traductrice, elle a fait également des surtitres pour les productions de la compagnie.

Foto: Samuel Rubio
Foto: Samuel Rubio